Hé oui ! Vous avez bien lu ! Nous sommes le 9 mars, 4h (on s'entend que c'est 4h AM! AM!), 11 scrapbookeuses, et je vous écris en direct de l'ordinateur de la boutique Scrapbook Café. C'est incroyable, nous sommes en train de vivre un crop et une tempête qu'on va se souvenir toute notre vie. Je n'ais jamais vu une tempête où les vents se déchaînent à ce point. On vient d'avoir des nouvelles du monde extérieur par le gars qui gratte le stationnement et il est catégorique, on est mieux de rester ici.... Sous le viaduc de Pierre-Bertrand, il a vu des voitures avec de la neige jusqu'au toit !!!! Il ne compte même plus le nombre de voitures pris partout!!! Il a même un petit vent de panique qui vient du coin sud-ouest....(hein Cindy??!!) Sérieusement, c'est très enrichissant de voir comment les gens réagissent dans des situation hors du commun, un vrai laboratoire vivant !!!!!
Mais, je trouve cette situation plutôt cocasse. Et, il faut dire que la situation pourrait être bien pire. Nous avons l'électricité, musique, internet, breuvage chaud et froid, chips, muffins, chaleur et du stock de scrapbook.
Mouf est déchaînée, elle a compté 238 tuilles au plafond, elle a fait de l'oeil au "superbe" déneigeur. Elle a aussi téléphoner à l'animateur de Radio Rock-Détente. Elle voulait qu'il fasse un appel à tous les déneigeurs pour qu'un bon samaritain vienne gratter l'entrée du stationnement. Cependant, ce charmant animateur nous a donné une belle petite tape dans le dos en disant "Bonne chance les filles qui sont prises dans un magasin de Scrapbook sur Pierre-Bertrand!" Il es-tu assez gentil ?
C'est un peu triste pour Cindy qui s'inquiète pour la fête de sa minipuce, car elle ne pourra pas la préparer aussi grandiose qu'elle le souhaite. Mais à la minute où je vous écris trois filles se mobilisent pour créer une chasse au trésor. Tous pour un et un pour tous!
En tout cas, si une des filles me téléphone demain et me réveille....Gare à vous!!!! Mais, je vous fais la promesse après ma journée "nuit" de sommeil, de revenir vous écrire la fin de cette aventure.
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1 commentaire:
Une chance que vous êtes restées à la boutique... je suis sortie en pleine tempête... c'était affreux! Si ce n'avait été de mes filles qui se faisait garder pour la première fois, j'aurais couché à l'hôtel Normandin.
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